Dans ce film de fin d’études produit par Gobelins, une petite couturière retrouve son mari revenu de la guerre. Elle part racommoder le monde avec un optimisme sans failles ; mais son mari, lui, a changé. Il reste son rescapé le plus précaire. Et une force obscure en lui l’emporte, qui est la seule à lui assurer la vitalité encore et qui va chercher à s’épanouir au détriment du reste. Métaphore de "la bête immonde", reflet des cicatrices de la première guerre mondiale (l’Europe est le théâtre de l’action), message anti-militariste ?
C’est en tout cas un très beau petit film, chamboulant habilement les échelles de grandeurs ; un spectacle haletant parvenant à générer une tension importante en seulement trois minutes. Il est surtout d’une fluidité et d’une sensibilité plutôt rares, même au sein des Gobelins.
Très chouette !
Dans ce film de fin d’études produit par Gobelins, une petite couturière retrouve son mari revenu de la guerre. Elle part racommoder le monde avec un optimisme sans failles ; mais son mari, lui, a changé. Il reste son rescapé le plus précaire. Et une force obscure en lui l’emporte, qui est la seule à lui assurer la vitalité encore et qui va chercher à s’épanouir au détriment du reste. Métaphore de "la bête immonde", reflet des cicatrices de la première guerre mondiale (l’Europe est le théâtre de l’action), message anti-militariste ?
C’est en tout cas un très beau petit film, chamboulant habilement les échelles de grandeurs ; un spectacle haletant parvenant à générer une tension importante en seulement trois minutes. Il est surtout d’une fluidité et d’une sensibilité plutôt rares, même au sein des Gobelins.
Réponse à la critique
Réponse à la critique
dsfdsfdsf
huhu
>Bla
retrtret
réponse à réponse Gérald